Dans quels cas opter pour l’implant dentaire ?

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Lorsqu’une dent doit être remplacée, vous pouvez opter pour un implant dentaire inséré dans l’os de la mâchoire, surmonté d’une prothèse. Mais d’autres solutions s’offrent à vous, comme le bridge dentaire.

Dans quelles situations le recours à l’implant dentaire est-il conseillé ?

Vous n’êtes pas malade et les contraintes ne vous effraient pas.

Les patients souhaitant opter pour l’implant dentaire doivent être en bonne santé… et disciplinés !

Certaines maladies excluent la possibilité de recourir à l’implant : diabète non soigné, certaines maladies cardiaques, troubles de la circulation sanguine… Quant aux personnes sujettes aux addictions, elles doivent être capables de se maîtriser. Les drogues, l’abus d’alcool et de tabac sont contre-indiqués, car ils peuvent contribuer au rejet de l’implant. La bonne intégration osseuse de l’implant dentaire requiert, par ailleurs, le respect de certaines contraintes post-opératoires.

A noter : l’implant ne sera posé que si la croissance des maxillaires est aboutie (vers 15-17 ans).

Vous souhaitez protéger vos dents, votre mâchoire et votre esthétique.

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Avec l’implant dentaire, le phénomène de perte osseuse est évité. L’implant est ancré dans l’os de la mâchoire, permettant sa stimulation, contrairement au bridge, posé en surface de la gencive. Or en l’absence de stimulation, l’os a parfois tendance à se résorber. Ce qui peut entraîner le déchaussement des dents voisines et peut même modifier l’esthétique la bouche.

Autre avantage de l’implant : sa pose ne nécessite pas d’endommager les dents voisines, qui sont taillées voire dévitalisées en cas de pose d’un bridge.

Vous souhaitez investir à long terme.

Certes, l’implant dentaire est cher, et n’est pas remboursé par la sécurité sociale. Mais il s’agit d’un investissement à long terme. Ancré dans l’os, il présente une grande stabilité dans le temps et face à la pression de la mastication. Il durera au moins 15 ans.